NOGARO CLASSIC FESTIVAL 2017

Avec plus de 19 000 personnes sur l'ensemble du week-end, 1 035 voitures sur les paddocks, 277 en piste, bon nombre d'exposants, 7 vachettes, des dizaines d'heures d'ensoleillement, 50 avions de collection, plus de 500 voitures pour la parade, 120 voitures pour le Tour Gascon dans la campagne Gersoise, 28 musiciens à la banda, 3 ou 4 roues par voiture... l'ensemble du Circuit de Nogaro a fait un bond dans le passé pour le plus grand plaisir des yeux et des oreilles. Mélange des genres, partage des envies, multiples brassages font la convivialité de ce rassemblement. Ajoutez y une saveur particulière issue du Sud-Ouest, et vous obtenez l'ambiance unique du Classic Festival. Une convivialité qui nait de cet éclectisme et de la douceur de cette région. La croissance annuelle de la fréquentation démontre largement que cette bonne humeur ambiante répond à une attente. La majeure partie du week-end s'est déroulée dans l'ordre et dans une quasi perfection, jusqu'à ce moment dramatique qui a bouleversé l'ensemble des personnes présentes. Un ULM a connu un problème technique au décollage qui a provoqué sa chute, entrainé la disparition de son pilote et son passager quelques jours après. Les mots ne seront jamais suffisants en ces circonstances. Toutes nos meilleures pensées, et meilleurs sentiments, vont vers la famille des victimes de ce tragique événement. Nous déplorons largement, au vue de ce qui circule sur le net et dans la presse, que tous n'aient pas la décence de ne pas relater ce fait tragique. Nous ne qualifierons donc pas l'ensemble de ce week-end car même si jusque là tout s'était merveilleusement bien passé, il restera marqué par ces moments de déchirement. Nous remercions tous les organisateurs et acteurs du Classic Festival, participants, partenaires, public, pour leur présence et leur fidélité. Nous serons présent en 2018 pour vous concocter un très beau plateau pour la cinquième édition !   RDV est pris en 2018, à vos inscriptions car les places sont limitèes...........         Le rédacteur Stéphane TOURNAN